Rejoins l’ÉTINCELLE : Un kot-à-projet pour briller en société

Chaque année, des étudiants venus des quatre coins de la Belgique se demandent où vont-ils poser leurs valises à Louvain-la-Neuve. Parmi les plus malins, il y a ceux qui choisissent L’Étincelle, le kot-à-projet par excellence qui produit un journal culturel et sensibilise au journalisme. On a enquêté (hyper sérieusement) sur les raisons qui poussent à rejoindre ce kot… pas comme les autres.

À l’Étincelle, tout part d’une envie simple : écrire. Que tu sois un poète torturé (ce qui était le cas pour un de nos petits nouveaux de cette année #Ilian), un journaliste amateur (#Jerem) ou juste quelqu’un qui adore placer des jeux de mots dans des titres (#Moi), l’Étincelle t’accueille à bras ouverts. Et si tu n’as jamais écrit que des légendes Instagram ? Pas de panique. On a vu des gens entrer en se demandant « c koi un édito ?» (#Napo) et ressortir en citant Camus. Incroyable… mais vrai.

Une veste militaire tu porteras

Tu nous as sûrement déjà aperçus dans la rue arborant cette fameuse veste vert kaki. Au début, c’est le genre de pièce que personne n’ose vraiment assumer. Trop marquée, trop affirmée, trop différente… Et pourtant… au fil du temps, chacun finit par la porter avec une fierté presque étonnante. La veste militaire a ce talent rare : elle confère un mélange subtil d’assurance et de mystère. Elle donne l’impression que tu as une histoire à raconter. C’est un vêtement qui fait naître des scénarios dans la tête des gens : « Est-ce qu’il est journaliste en mission dans un pays lointain ? Est-ce qu’il sort d’un tournage ? Ou est-ce simplement un type au style impeccable qui sait ce qu’il veut ? » Bref, tu auras une allure qui te donnera instantanément l’air important.

Dans le bloc des Bruyères tu habiteras 

Habiter dans le bloc, c’est profiter d’un emplacement magique : à trois minutes du centre-ville, à deux minutes de la fête (L’Adèle et le Cesec notamment), et à une seconde près du bonheur. Chaque coin de rue semble être pensé pour te rapprocher de tout ce dont tu pourrais avoir besoin, sans jamais avoir besoin de courir. Les auditoires, les magasins, les bars et le meilleur des autres Kaps. Tout est là, à portée de main, ou plutôt de pantoufle. Habiter à L’Étincelle, ce n’est pas qu’une question de praticité : c’est aussi un art de vivre. Ici, le bruit n’est pas un ennemi, c’est le signal que quelque chose se passe. Le rire des amis dans la rue, les éclats de musique au loin, le parfum des soirées qui s’annoncent… tout contribue à cette énergie unique que l’on ne retrouve nulle part ailleurs.

Cent copains en une semaine tu te feras : même si tes colocs tu ne les aime pas

Soyons honnêtes : tu n’aimeras peut-être pas tout ton kot. Personne n’aime un kot entier (les lois de la colocation). Mais L’Étincelle, c’est un kot qui t’oblige à rencontrer du monde : d’autres kaps, des étudiants, des habitants, des gens qui lisent le journal dans la rue… Ici, tu n’es pas coincé dans ton kap : tu es littéralement poussé à voir ailleurs, et même à t’infiltrer dans leurs événements. En effet, comme chaque semaine, nous filmons trois activités pour le JT, c’est l’excuse idéale pour aller à des soirées, ateliers et événements (GRATUITEMENT parce que « c juste pour filmer ihih »), micros à la main, tout en te faisant de nouveaux copains sans effort.

Alors, si tout ça te tente, rejoins-nous l’année prochaine ! On lance les recrus vers le mois d’avril. Prépare-toi à vivre une année comme tu ne l’as jamais imaginée… micro dans une main, bière dans l’autre.

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